L’argent colloïdal, vous connaissez ? Je suis prête à parier que vous n’en avez jamais entendu parler ou alors, très vaguement… comme moi, il y a deux ans encore, avant qu’un ami très cher ne partage avec moi cette information.                                                                                                                  Une mine d’or (si, si!)  dont la formule chimique est d’une simplicité déconcertante : une eau ultra pure qui contient une suspension de particules microscopiques d’argent. Rien de plus. Or… qui pourrait penser qu’à l’intérieur de cette formule minimale se cache la solution à tant de maux ! Parce que l’argent colloïdal, en effet, en tant que bactéricide ultra puissant, germicide et antibiotique naturel… est l’un des remèdes les plus étonnants qui soit. C’est en lisant dans un premier temps l’ouvrage de Goldman, « L’argent colloïdal, une arme secrète contre les maladies » (disponible gratuitement en format pdf ici) puis “Use of Colloids in Health and Disease” du Dr Henry Crooks (consultable ici) que j’en ai appris davantage à ce sujet.

     Sur le moment, le spectre d’action de ce produit étant si large et si inouï…. je dois avouer que j’ai tiqué. Etant plutôt sceptique par nature, et méfiante lorsque l’on me présente un produit comme étant LE remède miracle capable de venir à bout de toutes les pathologies, même les plus lourdes… il me tardait de le tester, tout simplement, et de le confronter à l’expérience directe, en toute objectivité.

Seul hic : très rapidement, n’ayant pu résister à accumuler un maximum d’informations au sujet de ce produit doté de vertus incroyables, j’ai littéralement arpenté les nombreux sites internet qui l’évoquent… : des récits et témoignages de personnes y ayant eu recours, les laboratoires qui le commercialisent ainsi que…. patatras…. la fameuse polémique dont l’argent colloïdal a pu faire l’objet….

… Jetez un œil à ça et vous allez comprendre pourquoi, sur le coup, mon cœur a bondi dans ma poitrine tandis que mon dos était parcouru d’un frisson d’effroi (non, non, je n’exagère pas, allez donc voir de quoi il en retourne!)…..

… Glourps. Pas très affriolant, n’est-ce pas ? Quand bien même on peut aimer le bleu parce que cela évoque la mer, le ciel, la douceur, la quiétude… avouez que l’idée de vous transformer irréversiblement en Schtroumpf ne vous tente pas plus que ça. Et donc, en clair, une consommation régulière d’argent colloïdal nous exposerait au risque d’être atteint d’argyrisme. Sur Wikipédia, d’ailleurs, voici ce que l’on peut trouver à ce sujet :

     Tous les ingrédients étaient réunis pour que je rejette en bloc ce produit, ma peur ayant pris le pas sur ma raison. Une fois la frayeur passée, je me suis empressée d’appeler mon ami (bien sûr, qui ne me voulait que du bien!)… le remerciant entre deux fous rires pour son « tuyau miraculeux » et, face à son insistance (« Mais non, je t’assure, informe-toi mieux que ça, tu vas comprendre que tout ça, c’est juste de la désinformation, fais-moi confiance ! »)…… je l’ai nargué en l’incitant à ne pas cesser d’en consommer… de cette manière, six mois plus tard, dans l’éventualité que son joli teint diaphane n’ait subi quelques changements de couleur, je serais fixée !

J’en souris encore. Plus que de l’anecdote, je souris de ma propre candeur puisqu’en effet, après m’être informée mieux et davantage, notamment en apprenant que ces cas d’argyrisme étaient imputables à quelques éléments qui m’avaient échappé (vous pourrez par exemple comprendre tout ceci ici ou encore là…), je me suis décidée à en acheter une bouteille « pour voir, pour essayer ». Pour ce faire, j’ai choisi une enseigne réputée pour son sérieux aussi bien que pour l’histoire très singulière qui a conduit cette famille à fabriquer et à commercialiser de l’argent colloïdal en France.

   Depuis deux ans, donc, j’ai régulièrement recours à l’argent colloïdal et je dois admettre que je suis totalement bluffée par l’effet positif que ce produit peut avoir sur un certain nombre de maux. J’ai notamment pu me rendre compte de son incroyable pouvoir cicatrisant en cas de brûlure puisqu’un jour, étant plutôt du genre distrait, j’ai saisi la grille extrêmement chaude du four sans gant, m’occasionnant une brûlure immédiatement douloureuse. Par chance, j’ai eu le réflexe de m’asperger généreusement la main d’argent colloïdal quelques secondes plus tard et là, surprise, la rougeur (qui était pourtant très criarde) s’est considérablement atténuée et… après deux jours à peine de « traitement » intensif et régulier à l’aide de mon précieux allié, et uniquement la sienne… ma main était comme neuve. Je n’en revenais pas !

     Je m’en sers également comme brumisateur chaque matin, n’appliquant sur ma peau que cela. L’argent colloïdal étant particulièrement réputé pour son effet sur la peau, ainsi que ses vertus antifongiques et antibactériennes, je suis éberluée en constatant combien ma peau, en plus d’être très douce, est claire, nette, sans imperfections. Du coup, je l’ai recommandé à un ado qui s’en asperge chaque matin le visage afin de lutter efficacement contre l’acné !

     Les bienfaits de l’argent colloïdal sur la peau sont vraiment évidents. Je songe notamment à un enfant atteint d’eczéma et dont la maman était désespérée, ne sachant plus très bien comment soulager son petit. Après deux jours à peine d’application, la peau de son fils s’est apaisée, et au bout d’une semaine supplémentaire, l’eczéma a disparu, ne laissant derrière lui que la nécessité pour les parents de remédier à la cause qui avait généré cette inflammation, à savoir, une allergie alimentaire.

     Récemment, en proie à un méchant bobo appelé… intoxication alimentaire après un repas de piètre qualité à la cantine de son école, mon fils aîné en a bu à intervalles réguliers (30 ml toutes les deux heures) et au bout de six heures à peine, l’intégralité de ses symptômes s’en sont allés.

   Selon moi, il est indéniable que l’argent colloïdal constitue un allié puissant, et je ne peux que vous inviter à vous documenter à votre tour à son sujet, à découvrir par vous-même l’étendue de son action… et, bien sûr, à ne pas céder aux pièges de la désinformation comme cela aurait pu être mon cas.

     Puisqu’après deux années d’absorption régulière (quasi journalière) d’argent colloïdal, non seulement je ne me suis pas transformée en Schtroumpfette, mais en plus, des études scientifiques ont été publiées par le très sérieux et fiable Journal of Experimental & Clinical Cancer Research. Elles nous informent que l’argent colloïdal agit sur les cellules cancéreuses comme un véritable tueur au service de la femme lorsqu’elle est touchée par le cancer du sein… et constituerait une excellente alternative à la chimiothérapie dont les méfaits ont été très largement dénoncés au courant des dernières années.

     N’hésitez pas à poster vos commentaires, et si vous avez une expérience à partager au sujet de l’argent colloïdal, un bienfait dont vous avez bénéficié grâce à lui, surtout, n’hésitez pas à en faire part au plus grand nombre !!