Le soleil… c’est pour moi une grande histoire d’amour. J’aime le soleil autant que je déteste la grisaille ou même la neige (eh oui, je suis une méditerranéenne, moi, et à 1000%), et connaissant ma phobie des congères et des sommets d’un blanc prompt à me donner le tournis (des résidus d’un souvenir traumatisant dans un « pays perdu » en France sans doute, lorsque je me suis retrouvée coincée en voiture dans ce qui pouvait s’apparenter à un tunnel de neige quelque part à 1200 m d’altitude, au beau milieu de la nuit et avec pas âme qui vive pour venir me sauver avant des heures… avec pour seule alliée la patience. Brrr. J’en frissonne encore. Cette nuit-là (mais pas seulement), j’aurais tout donné pour être le Grand Architecte de l’Univers, pour faire lever le soleil immédiatement d’un simple coup de baguette magique (un soleil de plomb bien sûr, pourquoi pas un soleil d’été en Sicile) histoire de faire fondre la neige machiavélique… ou même un simple tapis volant m’aurait suffi. Que je m’échappe de cet enfer blanc !
« Elle est retrouvée. Quoi ? – L’Éternité. C’est la mer allée avec le soleil. »
Bref, le soleil : le pourvoyeur à tous mes besoins. Celui qui me prodigue la dose de vitamine D et la vitalité dont j’ai besoin, qui me confère le teint hâlé et la bonne mine dont je raffole, et qui me donne même l’opportunité de porter mes bien-aimées jupes, robes et autres étoffes légères. Celui qui, à l’instant même où il apparaît, a le don de faire naître aussi bien sur mon visage qu’en mon for intérieur un sourire bienheureux. Celui qui m’inspire la dolce vita et la volupté, et qui incite aux délices de la paresse et du farniente. Celui qui vaut à mes yeux tous les anti-dépresseurs du monde. Plus productif : celui qui va toujours me booster lorsque je dois mettre le turbo au travail ou pour le reste. Ou plus généralement : celui qui me donne toujours envie de dire merci à la vie, juste merci d’être ici, merci d’être en vie, merci.
Le soleil : image de joie, de légèreté, de bonheur :
« Il y a le ciel, le soleil et la mer »………………
Ou encore Rimbaud, chuchoteur de mon adolescence :
« Elle est retrouvée. Quoi ? – L’Éternité. C’est la mer allée avec le soleil. »
Protéger ma peau ? Pensez-vous ! Toute certaine que j’étais d’être auréolée d’une enveloppe protectrice par le seul fait 1) que ma peau de méditerranéenne ne pouvait en aucun cas être sujette au moindre souci en rapport avec le soleil et 2) que le soleil-que-j’aimais-tant-ne-pouvait-surtout-pas-me-causer-le-moindre-mal (comme un véritable ami, en somme)……………………. jamais, au grand jamais je n’ai eu recours à d’éventuelles crèmes de protection solaire. Je n’éprouvais aucun désir d’y avoir recours puisque tout simplement, de nombreux articles et études m’ont permis de prendre connaissance du nombre de cochonneries cancérigènes qui sont contenues par ces préparations hautement plébiscitées par Big Pharma (et les parents, convaincus de faire au mieux pour leur progéniture, bien sûr)… A la place, j’ai décidé d’adopter des mesures simples et pleines de bon sens, tout simplement, que vous connaissez tous déjà très certainement !
– Tout d’abord, ne plus lézarder au soleil aux heures les plus critiques, ni sur de longues durées.
– Porter un chapeau lorsque l’on est exposé directement. En ce qui me concerne, je les adore déjà, les chapeaux, surtout lorsqu’ils font twister la robe la plus kitsch ou qu’ils donnent un petit air rétro vintage… dont je raffole!
– Avoir recours à une protection solaire 100% bio (il suffit juste de trouver celle qui ne vous donnera pas l’apparence d’une tartine beurrée…! Par chance, j’ai trouvé mon bonheur,)…
– Concernant la peau, les produits naturels qui l’embellissent, la soignent, la cajolent, la respectent.
Mélas…quoi ? Mélasma!
Je n’ai donc jamais protégé ma peau. Et si un beau jour j’ai découvert une légère tâche un peu plus foncée que les autres sur le haut de ma tempe ainsi que des micro tâches de rousseur sur mon nez… pour autant, je n’ai pas diabolisé le soleil. J’ai juste haï encore plus Big Pharma puisque j’ai appris que la prise de pilule contraceptive pouvait être le déclencheur de quelque chose d’encore plus gravissime que ma modeste tâchounette (qui, depuis, a totalement disparu et je vais vous expliquer comment!)………… c’est à dire le responsable de ce que l’on appelle chloasma, ou mélasma, plus connus sous le nom de « masque de grossesse ».
Que nous dit Wikipédia à ce sujet ? Voyons voir :
« Le mélasma (également dénommé chloasme ou chloasma) est une affection bénigne de la peau se présentant sous la forme de taches hyperpigmentées apparaissant sur les zones exposées au soleil, surtout au niveau du visage, du décolleté et du cou.
Le mélasma atteint principalement les femmes, le plus souvent lors de la grossesse, donnant ce que l’on appelle communément le masque de grossesse, mais il peut apparaître en dehors de celle-ci.
Les causes et les facteurs favorisants du mélasma sont essentiellement des facteurs de prédisposition génétique, l’exposition au soleil et aux œstrogènes (lors de la grossesse ou au cours d’une contraception). »
Ok. Je me suis dit sur le moment : « Ca me fait de belles jambes. La pilule contraceptive, c’est trop tard, je l’ai prise il y a des années, donc ce qui est fait, est fait. Idem pour la surexposition au soleil. Maintenant, on fait quoi, là ? »………… Voilà ce que nous apprend donc Wikipédia (comme la majorité des sites web dédiés à la santé et plus précisément à la dermatologie) :
« Afin d’éviter l’aggravation on peut limiter l’exposition au soleil par l’utilisation de protections solaires (oui, merci, surtout lorsqu’on sait connaît les résultats de l’étude de l’association américaine Environmental Working Group) et remplacer une contraception œstroprogestative par d’autres méthodes contraceptives (évidemment ! Ca tombe sous le sens). Le traitement curatif comporte des produits locaux dépigmentants (dérivés phénoliques, soufrés et non phénoliques) et des méthodes physiques comme les peelings chimiques ou le laser (hum hum, ben voyons ! Tant qu’à faire, autant enrichir Big Pharma, encore et encore, et ce d’autant plus qu’il s’agit de mon petit minois, de ma beauté !!!!) Pour masquer les taches résistantes au traitement on peut utiliser des maquillages couvrants (génial ! Me voilà donc condamnée à ressembler à un pot de peinture si je comprends bien, et je suppose que les produits make up miracle sortent de chez L’Oréal ou toutes ces sociétés qui se fichent bien de nous rendre malades avec leurs produits chimiques hautement toxiques… après avoir bien entendu testé toute leur panacée sur des pauvres bêtes! Non merci!).
Après avoir consulté une dermatologue qui m’a rassurée en m’expliquant que non, il ne s’agissait pas du premier stade d’un mélanome malin (eh oui, j’étais mortifiée, moi)… mais bien d’une légère hyperpigmentation… après avoir refusé la petite crème miraculeuse vendue en pharmacie (dont parlent de nombreux témoignages sur internet, exposant clairement leur inutilité et même leur composition chimique pas folichonne du tout)…. les séances de laser (oui, oui, pour si peu!)… au sujet desquelles j’ai également découvert les méfaits… j’ai claqué la porte et me suis mise en quête de mon remède à moi. Basta!
« Qui cherche trouve »…………………
On devrait ajouter :
« ………………….. selon ce qu’il espère trouver et selon la manière dont il va chercher ! ».
C’est un fait : le net (en particulier You Tube) regorge de tutos 100% girly, qui évoquent leurs problèmes d’hyperpigmentation et toute l’armada de produits pharmaceutiques (absolument ruineux de surcroît) et de maquillage (naturellement tout aussi ruineux en plus d’être anti-éthique, anti-naturel, anti-tout, anti-nous)………… supposés miraculeusement camoufler l’objet de tant d’embarras…
Bon. Partant de là, j’ai décidé de creuser, c’est à dire de mener l’enquête afin de trouver des moyens naturels, sensés et sains de lutter efficacement contre ce problème. Puisque c’est ce que j’avais à cœur de trouver en ce qui me concerne.
Et là, tel un phare dans la nuit… tel un soleil (encore lui!)…………. en glanant çà et là un maximum d’informations, une petite lanterne s’est allumée dans ma tête. Les huiles essentielles, pardi !
Parce que les huiles essentielles, je m’en sers déjà pour un florilège de choses. J’ai déjà évoqué par exemple l’huile essentielle de tea tree (arbre à thé) qui, à mes yeux, représente la perle des perle, l’huile des huiles…. et mon armoire à pharmacie regorge de ces petites fioles ô combien précieuses et vitales dans lesquelles je puise matière à me soigner (comme l’huile essentielle de thym, d’eucalyptus radiata pour les affections respiratoires, l’huile essentielle de niaouli pour stimuler les défenses immunitaires, l’huile essentielle de lavande pour dormir une nuit de pleine lune, l’huile essentielle de clou de girofle pour la santé bucco-dentaire etc…)……….. Et donc je me suis dit que par excellence, pour prendre soin de ma peau, il devait forcément y avoir des petites huiles essentielles miraculeuses, un sérum, une formule ! Un remède !
Un remède qui a du sens :
les huiles essentielles
Ce que j’ai cherché, je l’ai trouvé. Mais… pas tout de suite ! Le premier pas a été celui qui m’a conduite sur le site Oléassence de Christine Cuisiniez, phamarcienne-experte en dermo-cosmétique, et de Nolwenn Eon Docteur en pharmacie, créatrice de l’atelier de conseil et de formation Ma bulle au naturel et du site La nature pour ma peau sur lequel elle prodigue tous ses précieux conseils (personnalisés!) en matière de peau.
Grâce à ce tandem de choc, j’ai pu découvrir une véritable caverne d’Ali Baba aussi bien en terme d’huiles essentielles de qualité disponibles à la vente mais aussi et surtout d’informations !
Je me souviens avoir notamment lu cet article et avoir décidé de me concocter le fameux sérum préconisé et dont voici les détails:
Seul hic : était-ce dû au fait que j’avais conscience que mon souci n’était pas du tout aussi sévère qu’il peut l’être chez d’autres personnes et que donc, je n’étais pas suffisamment motivée sur le long terme…. ? Toujours est-il qu’après deux mois à ce régime, c’est à dire deux mois durant lesquels j’ai appliqué chaque matin et chaque soir sur ma peau quelques gouttes de ce sérum, tout simplement… mon nez n’en pouvait plus de cette odeur ou, en d’autres termes, je ne supportais plus de m’endormir dans ces relents de pot-au-feu ou, pire, d’avoir l’impression de m’être muée en… bouillon. De quoi ? De céleri bien sûr ! Associé à l’huile essentielle de carotte, croyez-moi ou non, mais l’alliage est redoutable sur tous les plans!
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redoutablement efficace, c’est certain, puisque mes petites « tâches de rousseur suspectes » se sont atténuées à 90% et il faudrait vraiment avoir une loupe ultra grossissante pour les voir nettement !
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redoutablement rebutant aussi, puisque comme vous pouvez vous en douter, on est très loin de se sentir dans la peau de Marilyn Monroe qui, à l’heure du coucher, ne s’enveloppe que d’un léger nuage de Chanel n°5 😉
Sans aucun doute aurais-je persévéré si mon problème avait été autrement plus grave que cela.
Il n’empêche que cela m’a permis de faire une autre découverte toute aussi redoutable celle-là, donc je ne peux plus me passer en raison de toutes ses applications possibles et de tous ses bienfaits :
L’huile de chaulmoogra : mieux que toutes les crèmes du monde, une alliée de votre peau ! Et l’ennemie de votre cellulite, mesdames !
Exotique, son nom, n’est-ce pas ? Et pour cause : le chaulmoogra est un fruit qui nous vient d’Asie, et plus précisément d’Inde et de Chine. Là-bas, l’huile extraite de la graine du fruit, a été très longtemps utilisée contre les affections de la peau et surtout… contre la lèpre.
Il faut dire que sa formule tient littéralement du prodige. A titre d’exemple, elle contient des acides gras très particuliers et très rares qui contiennent une structure cyclique. Ces caractéristiques si singulières sont synonymes de nombreux bienfaits ayant trait à l’huile de chaulmoogra, suffisamment pour avoir fait l’objet d’études scientifiques qui les ont démontrés en même temps qu’elles ont permis d’en mettre en avant d’autres vertus.
Ne soyez pas étonné par son apparence : elle possède une texture semi-solide qui l’amène à se figer très rapidement dans sa petite bouteille. Mais il suffit de la passer sous l’eau chaude quelques secondes afin de la retrouver sous sa forme liquide. Et ne soyez pas surpris non plus par son odeur, que je trouve pour ma part assez marquée. En ce qui me concerne, je la combine avec un nuage de mon hydrolat préféré, la rose de Damas, ou encore avec une petite goutte d’huile essentielle de rose musquée… ou pourquoi pas de tea tree, parfaitement tolérée par la peau en application directe.
Outre ses effets sur différentes affections de la peau (peaux atopiques, acnéiques, infections cutanées etc)… l’huile de chaulmoogra permet d’en harmoniser la pigmentation, notamment en activant la mobilité des mélanocytes, c’est à dire des zones pigmentés vers les zones dépigmentées, en stimulant la synthèse de la mélanine et en favorisant son transfert vers la surface de la peau. En d’autres termes, l’huile de chaulmoogra est une aide efficace aussi bien en cas de dépigmentation de la peau (comme cela est le cas pour les personnes atteintes de vitiligo) que d’hyperpigmentation. Il s’agit du soin anti-tâches par excellence ! Et pour celles et ceux qui apprécient d’avoir le teint hâlé, sachez qu’elle accélère le bronzage, qu’elle l’uniformise et qu’elle en prolonge les effets ! Intéressant, non ?
Elle apaise les peaux irritées, abîmées, notamment les peaux qui ont été desquamées par des problèmes tels que l’eczéma ou le psoriasis…. et optimise la réparation des peaux qui ont été malmenées…. par les fameuses séances de laser vers lesquelles trop de dermatologues orientent leurs patients, « oubliant » au passage de les informer des méfaits possibles de cette méthode thérapeutique qui est loin d’être anodine !
Pour vous, les hommes, elle est idéale après le rasage, et appliquée tel un baume sur votre visage, elle assouplit votre peau et lui restitue toute sa douceur.
Non comédogène (comme cela peut être le cas avec certaines huiles, attention!)… et antibactérienne, l’huile de chaulmoogra purifie la peau et régule les sécrétions sébacées. En bref : bye bye l’acné !
Et comme je le mentionnais un peu plus haut, l’huile de chaulmoogra a révélé selon de récentes études scientifiques un autre pouvoir très intéressant ; en effet, elle possède des propriétés lipolytiques qui favorisent la prévention et la réduction des surcharges adipeuses et de la cellulite. (Rihanna va pouvoir dormir tranquille…. Il va falloir que je lui refile le tuyau!!!).
J’ai donc trouvé !
Eh oui, j’ai trouvé exactement ce que je cherchais et même mieux que ça ! Il va de soi qu’elle fait partie de mes must have tant je lui dois ! Encore une fois, je dis merci à la Vie, et même merci à ce petit souci que j’ai eu à un moment donné qui, bien que n’étant pas carabiné, m’a donné l’opportunité de me pencher sur de nombreux thèmes et produits dont j’ignorais ou l’existence ou les bienfaits !
Donc oui, merci la Vie, merci la nature pour prendre soin de nous de cette manière… pour peu que l’on fasse ce premier pas qui consiste à nous tourner vers elle, avec bon sens et confiance.
Cadeau du jour: un partage musical 100% soleil! A consommer sans modération!
Passionnant article, un de plus! Je ne connaissais pas du tout cette huile mais je suis tenté de la recommander à un proche qui souffre d’une affection de la peau avec desquamation. Je te fais confiance pour le meilleur endroit où l’acheter: as-tu une bonne adresse? merci d’avance!
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Bonjour Myriam,
Merci de me suivre tout d’abord, et pour ta confiance 😉 Alors ma bonne adresse à moi, c’est celle d’Oléassence, en Lubéron:
http://www.oleassence.fr/
J’y achète mes huiles essentielles, mes hydrolats… avec en prime d’excellents conseils personnalisés, ce que je trouve vraiment très appréciable! La boutique est là:
http://www.oleassence.com/huile-vierge-biologique-chaulmoogra.htm
J’oubliais totalement de préciser que l’huile de chaulmoogra s’applique et s’étale parfaitement sur la peau. Pour te donner un exemple, j’en suis encore à mon premier flacon au terme de 8 mois (d’application matin et soir), donc 27 euros… ça vaut vraiment le coup! Concernant ton proche, je me demande si dans son cas, le baume de chanvre ne serait pas efficace également? Et sans doute la lavande vraie dont l’effet couvre un très large spectre d’actions! Bref, tiens-moi au courant! Et en attendant, bon dimanche à toi Myriam!
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Super info ! Je vais en acheter et l’essayer.
A un moment, tu dis avoir trouvé la protection solaire 100% bio… Tu ne parlais pas de l’huile de chaulmoogra ?
Merci
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Depuis que tu utilises l’huile de chaulmoogra, tes tâches ont-elles complètement disparues? Penses-tu que cette huile peut fonctionner sur les tâches de rousseur? Merci pour tes réponses.
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Bonjour Myriam,
L huile de chaulmoogra je viens de l acheter chez aroma zone, qui est bien moins chere.
Je vais l essayer pour mes taches blanches il parait que cela efface aussi les taches brunes
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Voilà un article passionnant !
Je développe un melasma sur le front, les tempes, la moustache, et cela me désespère. Je me renseigne un peu partout : parapharmacie, Sephora pour ne pas le citer, et puis l’idée d’en revenir au naturel ! J’avais entendu parler du busserole mais pas encore de l’huile essentielle de chaulmoogra !
Mon melasma est très probablement lié à la pilule, au stress, à des traitements intensifs contre l’acné il y a trois ans, et bien sûr au soleil (même si je n’habite pas au bord de la Méditerranée).
Tu as testé la « potion » que j’ai également pu rencontrer sur d’autres sites internet.
J’ai mnt besoin de tes précieux conseils : que me conseilles-tu exactement ? Lequel est le plus efficace selon toi ?
Je te remercie par avance de ta réponse que j’attends avec impatience (avant que je cours à l’herboristerie la plus proche !)
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Bonjour,
J’aimerais néanmoins savoir si elle unifiera mon teint ou le bronzera t-il davantage étant de couleur brune (antillaise) avec les membres exposés au soleil plus bronzés et des petites tâches éparses de dépigmentation ?
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Bonsoir, jai acheté cette huile et je voulais savoir comment l’appliquer avec l’huile essentiel d’arbre à thé ? Jai quelques taches a cause de lacné sur le visage..
Merci bcp ton blog est super !
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Bonjour, j’utilisé cette huile pure ou avec une goutte de géranium (je ne crains plus aucun moustique ) ou de tea tree. Elle est juste fantastique. Avec l’huile végétale d’abissiny, elle est ma préférée, celle vers laquelle je reviens systématiquement!
Bonne continuation
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Bonjour
J’ai un vitiligo depuis plus de 30 ans, j’ai le teint clair et même si j’arrive à le dissimuler légèrement avec des auto- bronzant ça me gâche la vie.
Je cherche en vain un produit et voilà que je tombe sur cette huile de Chaulmoogra.
Ce serait un miracle si cela pouvait faire disparaître mon vitiligo que j’ai sur le visage , les mains et un peu sur d’autres endroits du corps.
Pouvez-vous me donner un petit espoir de guérison même si ce n’est pas une souffrance physique c’est une souffrance morale.
Je vous remercie
Maria
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Coucou,
Je connais l’huile de chaulmoogra, elle m’a aidé à cicatriser mes tâches brunes.
Bisous
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Bonjour,
Quelle différence entre l’huile chaulmoogra de Aroma zone et Oleassence à part le prix ?
Merci
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Bonjour,
Plusieurs mois sont passés depuis, mais j’aimerais savoir Mme Marie Gautier si vous avez pu utiliser l’huile de Chaulmoogra. Avez vous vu une amélioration au niveau du vitiligo ?
Je vous remercie d’avance de vos commentaires
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