L’huile de Chaulmoogra: elle bichonne naturellement ma peau et je l’adore pour ça!

Le soleil… c’est pour moi une grande histoire d’amour. J’aime le soleil autant que je déteste la grisaille ou même la neige (eh oui, je suis une méditerranéenne, moi, et à 1000%), et connaissant ma phobie des congères et des sommets d’un blanc prompt à me donner le tournis (des résidus d’un souvenir traumatisant dans un « pays perdu » en France sans doute, lorsque je me suis retrouvée coincée en voiture dans ce qui pouvait s’apparenter à un tunnel de neige quelque part à 1200 m d’altitude, au beau milieu de la nuit et avec pas âme qui vive pour venir me sauver avant des heures… avec pour seule alliée la patience. Brrr. J’en frissonne encore. Cette nuit-là (mais pas seulement), j’aurais tout donné pour être le Grand Architecte de l’Univers, pour faire lever le soleil immédiatement d’un simple coup de baguette magique (un soleil de plomb bien sûr, pourquoi pas un soleil d’été en Sicile) histoire de faire fondre la neige machiavélique… ou même un simple tapis volant m’aurait suffi. Que je m’échappe de cet enfer blanc !

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 « Elle est retrouvée. Quoi ? – L’Éternité. C’est la mer allée avec le soleil. »

Bref, le soleil : le pourvoyeur à tous mes besoins. Celui qui me prodigue la dose de vitamine D et la vitalité dont j’ai besoin, qui me confère le teint hâlé et la bonne mine dont je raffole, et qui me donne même l’opportunité de porter mes bien-aimées jupes, robes et autres étoffes légères. Celui qui, à l’instant même où il apparaît, a le don de faire naître aussi bien sur mon visage qu’en mon for intérieur un sourire bienheureux. Celui qui m’inspire la dolce vita et la volupté, et qui incite aux délices de la paresse et du farniente. Celui qui vaut à mes yeux tous les anti-dépresseurs du monde. Plus productif : celui qui va toujours me booster lorsque je dois mettre le turbo au travail ou pour le reste. Ou plus généralement : celui qui me donne toujours envie de dire merci à la vie, juste merci d’être ici, merci d’être en vie, merci.

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Madeleine de POUAH… heu, de Proust. Non! De poids! ——————————-> Zoom sur l’huile de foie de morue!

« Quand d’un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l’odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sous leur gouttelette presque impalpable, l’édifice immense du souvenir. »

Marcel Proust, Du côté de chez Swann in A la recherche du temps perdu (1913)

Aaaah…. la fameuse « madeleine de Proust » ! Vous savez, ces souvenirs que nous avons et que l’on transporte avec soi, tout au long de notre vie, tel un Eldorado délicieusement lové à l’intérieur de soi.

Albert_Dagnaux_-_Les_Jeux_de_l'enfance_et_de_la_jeunesse_-_Tableau_1_-_2Albert Dagnaux – Les Jeux de l’enfance et de la jeunesse

     Pour ma part, je garde un souvenir toujours ému lorsque je me remémore les vacances que je passais auprès de mon bien-aimé grand-père, dans sa ferme, à la campagne, éloignée de tout, et où régnaient en maître le calme, la paix, la sérénité.

   Mon grand-père était un fermier, biodynamicien de surcroît, et mes souvenirs, naturellement, sont empreints de mille saveurs exquises : les fraises ou les tomates fraîchement cueillies… tous ces légumes, ces fruits pleinement vivants qui, sans doute car ils sont ceux de mon enfance, ont suscité en moi tant de plaisir et de délectation que depuis, nulle autre expérience n’a jamais pu les détrôner de leur statut de grands bonheurs de la vie.

Et puis… rien n’est parfait, n’est-ce pas ? Il faut bien que quelque chose vienne assombrir ce charmant tableau d’une enfance de liberté et de plaisirs simples ô combien précieux à la campagne… Il faut bien qu’à ces saveurs grandioses vienne s’en substituer une autre, sous la forme d’une madeleine de…………. POUAH !!!livre-enfants-mademoiselle-princesse-ne-veut-pas-manger

     Celle à laquelle je fais allusion en tous cas m’était administrée par mon grand-père bienveillant tous les soirs à la même heure, dans une (trop) grosse cuillère à soupe… ! Pas n’importe laquelle : une soupe à la grimace, bien sûr, tant ils étaient immense, le dégoût qu’elle m’inspirait, et les relents qu’elle occasionnait dans mon pauvre petit gosier jusque là ravi… S’il ne s’était pas agi de mon grand-père, en lequel j’avais une foi et une confiance inouïe, pour un peu, j’aurais crû à une tentative d’empoisonnement d’autant plus cauchemardesque qu’elle était vouée à se reproduire tous les jours, sempiternellement, avec chez mon grand-père un acharnement, une obstination qui n’avaient d’égal que sa foi en tous les trésors que la Nature nous offre généreusement.

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L’huile essentielle de tea tree : merci aux Aborigènes d’Australie !

Quand bien même on le trouve également en Malaisie, en Indonésie ou encore en Nouvelle-Calédonie, l’arbre à thé est originaire d’Australie, et ne pousse naturellement que dans un secteur précis en Nouvelles Galles du Sud.

82099918teatreegifQuel arbre étonnant que celui-ci, capable notamment de survivre dans les conditions climatiques les plus rigoureuses ; comme si, dans la seule manière dont il est amené à croître, était déjà inscrite la puissance de ses bienfaits.

L’arbre à thé, ou tea tree : un symbole de lutte et de résistance

Comme vous avez pu le constater, j’ai choisi d’égrener dans mon titre un remerciement… un hommage aux Aborigènes d’Australie, puisque oui, c’est à eux, dont la pharmacopée figure parmi les plus riches et les plus étonnantes qui soient, que l’on doit de connaître les vertus extraordinaires de cette plante. Lire la suite

L’argent colloïdal, un allié ultra puissant qu’il faudrait toujours avoir avec soi !

   L’argent colloïdal, vous connaissez ? Je suis prête à parier que vous n’en avez jamais entendu parler ou alors, très vaguement… comme moi, il y a deux ans encore, avant qu’un ami très cher ne partage avec moi cette information. drip-351619_640                                                                                                                 Une mine d’or (si, si!)  dont la formule chimique est d’une simplicité déconcertante : une eau ultra pure qui contient une suspension de particules microscopiques d’argent. Rien de plus. Or… qui pourrait penser qu’à l’intérieur de cette formule minimale se cache la solution à tant de maux ! Parce que l’argent colloïdal, en effet, en tant que bactéricide ultra puissant, germicide et antibiotique naturel… est l’un des remèdes les plus étonnants qui soit. C’est en lisant dans un premier temps l’ouvrage de Goldman, « L’argent colloïdal, une arme secrète contre les maladies » (disponible gratuitement en format pdf ici) puis “Use of Colloids in Health and Disease” du Dr Henry Crooks (consultable ici) que j’en ai appris davantage à ce sujet.

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